Pourquoi une trilogie ???
- MrFlo
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Pourquoi une trilogie ???
Salut à vous !
Je me posais une question, ce matin, sous ma douche... pourquoi les trilogies ont-elles le vent en poupe depuis quelques années ?
Que ce soit dans les livres ou les films, on peut facilement en citer pléthore. Je crois même avoir lu sur ce forum "je suis en train d'écrire une trilogie", ok pourquoi pas, mais ... une bilogie c'est pas assez bien et une pentalogie c'est trop ?
Bref, si quelqu'un a une idée voire un avis éclairé, je suis preneur !
Bien à vous,
Florian
Je me posais une question, ce matin, sous ma douche... pourquoi les trilogies ont-elles le vent en poupe depuis quelques années ?
Que ce soit dans les livres ou les films, on peut facilement en citer pléthore. Je crois même avoir lu sur ce forum "je suis en train d'écrire une trilogie", ok pourquoi pas, mais ... une bilogie c'est pas assez bien et une pentalogie c'est trop ?
Bref, si quelqu'un a une idée voire un avis éclairé, je suis preneur !
Bien à vous,
Florian
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- Lilou
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Re: Pourquoi une trilogie ???
Bonjour Flo !
C'est rigolo je n'y avais jamais prêté attention. Pour ma part, je suis en train d'en ecrire une alors je vais te dire pourquoi trois: Parce que deux effectivement, ca me semblait pas assez et que de toute façon, toute la matière que j'ai ne pourrait pas rentrer dans deux tomes seulement, et pas plus parce que je n'aurais, cette fois ci, surement pas assez de matière pour ecrire un 4eme tome ^^
Voila pour ma part
C'est rigolo je n'y avais jamais prêté attention. Pour ma part, je suis en train d'en ecrire une alors je vais te dire pourquoi trois: Parce que deux effectivement, ca me semblait pas assez et que de toute façon, toute la matière que j'ai ne pourrait pas rentrer dans deux tomes seulement, et pas plus parce que je n'aurais, cette fois ci, surement pas assez de matière pour ecrire un 4eme tome ^^
Voila pour ma part
« Ecrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit. »
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- Mario
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Re: Pourquoi une trilogie ???
On ne devrait pas parler de trilogie mais de suites. Une trilogie, c’est juste deux suites qui n’ont pas de suites. Dès qu’une histoire remporte un certain succès, on s’empresse de réutiliser les mêmes ingrédients. Pas toujours avec succès, on ne parle pas pour rien par exemple du premier film comme le meilleur, les suivants étant souvent inférieurs. Il existe évidemment des exceptions.
Le problème est de savoir si dans une trilogie on développe mieux l’histoire. On se dit qu’avec trois histoires liées, qui se suivent, on aura un champ d’action plus grand. On pourra mieux développer les personnages, apporter plus de scènes donc rallonger le temps, et du même coup le plaisir de s’éterniser. Oui et non. Au départ, il vaudrait mieux tout miser sur une seule histoire et donc un seul roman, complet et fini. Déjà pour en finir une, avec la satisfaction d’avoir un produit fini ; le mot fin signifiant qu’on a réussi un exploit en bouclant une œuvre, avec tout ce que cela comporte en efforts et en heures passées dessus.
Ce qui a le vent en poupe, ce sont surtout les histoires et donc les romans et films réussis. Que ce soit des trilogies ou pas. Après le mot est devenu attractif dans la conscience populaire et artistique. Parler simplement de trilogie évoque déjà une dimension où tout de se multiplie dans une sorte de panoramique exceptionnel, avec un sous-entendu positif à la base. Cela a de la gueule de dire à quelqu’un : « Je fais une trilogie ! » Bon, il faut encore la réaliser en misant trois fois plus de temps. C’est pour cela qu’un plan d’ensemble est recommandé pour voir si le jeu en vaut vraiment la chandelle.
En général, les histoires réussies (et donc les trilogies) sont des histoires originales dans leur inspiration ou leur conception. Dans leur inspiration parce que l’auteur lance un sujet nouveau ou très peu abordé comme William Gibson avec Le Neuromancien en 1984 sur le monde informatique ; ou Tolkien avec Le Seigneur des Anneaux en 1954 dans le domaine de la Fantasy. Dans leur conception quand l’auteur reprend un sujet déjà vu et revu mais de façon nouvelle comme le voyage dans le temps avec Retour dans le futur et la Dolorean servant à franchir les siècles ; ou The hot spot avec le triangle classique « un homme deux femmes », les personnages avec leurs looks et leurs caractères faisant la différence.
La trilogie c’est le trois, les trois logis ou loges, là où se loge l’esprit de quelque chose, son essence vivante sous une forme écrite, filmée, dessinée, enchantée par la musique, les trois dimensions d’une sculpture, etc.
On part du un, le mono, l’unité mais aussi le manque de variations. C’est un mais seul, isolé. Du coup on rajoute un et on obtient deux, la stéréo, qui peut-être un double vu dans le miroir, ou quelque chose de complètement différent, comme l’homme et la femme. Il y a alors un sentiment de plein, d’ouverture, d’éveil vers d’autres possibilités, absentes avec un.
Avec le trois, on atteint une « overdose de complet », on a la stéréo avec un plus, on entre dans les trois dimensions, l’espace, le mouvement dans tous les sens, avec tous nos sens. On peut se délier, s’étirer, s’épanouir, prendre de la place. C’est le triangle actif, avec des angles pointus ; posé sur une base, avec une stabilité en bas et un mouvement fulgurant vers le haut.
De là on débouche sur carré et la stabilité parfaite, avec une certaine monotonie, le carré et le quatre ressemblant à une roue carrée qui ne roulerait pas. Pour cela que quatre films en suites, par exemple, donnent une impression d’accumulation et de « trop-plein ». On était parti de la trilogie active, on se retrouve alors avec la quadrilogie passive.
C’est caractéristique avec le Tiercé, où l’on jouait avec un enthousiasme qui a disparu quand le quarté, le quinté et le quinté + ont fait leur apparition. Avant on avait la course du dimanche, on s’y préparait le samedi, on redoublait de commentaires le dimanche matin au pmu dans une ambiance électrique. Maintenant les courses se succèdent sans interruption sur les écrans télé des pmu, on a juste le temps de cocher un ticket et de valider. On a même perdu le plaisir de la petite pince qui scroutchait dans les tickets trois volets (encore le trois).
On peut trouver encore d’autres exemples qui montrent que le trois est un nombre parfait, un juste milieu entre le moins et le plus. Ce qui expliquerait le secret de la trilogie et son engouement.
Au final, le choix demeure : un, deux, trois, quatre, etc. Peu importe, l’essentiel est de bien réussir son œuvre et d’entraîner chaque fois le lecteur vers de nouvelles émotions. Le chiffre est juste une indication pour la structure et le rythme. Les personnages et donc l’humain feront toujours la différence. Après tout, c’est nous qui vivons le monde, les mondes devrais-je dire. Tout le reste est une question de lieux et de décoration, que ce soit présentés en deux ou quinze tomes, épisodes et je ne sais pas quoi.
Le problème est de savoir si dans une trilogie on développe mieux l’histoire. On se dit qu’avec trois histoires liées, qui se suivent, on aura un champ d’action plus grand. On pourra mieux développer les personnages, apporter plus de scènes donc rallonger le temps, et du même coup le plaisir de s’éterniser. Oui et non. Au départ, il vaudrait mieux tout miser sur une seule histoire et donc un seul roman, complet et fini. Déjà pour en finir une, avec la satisfaction d’avoir un produit fini ; le mot fin signifiant qu’on a réussi un exploit en bouclant une œuvre, avec tout ce que cela comporte en efforts et en heures passées dessus.
Ce qui a le vent en poupe, ce sont surtout les histoires et donc les romans et films réussis. Que ce soit des trilogies ou pas. Après le mot est devenu attractif dans la conscience populaire et artistique. Parler simplement de trilogie évoque déjà une dimension où tout de se multiplie dans une sorte de panoramique exceptionnel, avec un sous-entendu positif à la base. Cela a de la gueule de dire à quelqu’un : « Je fais une trilogie ! » Bon, il faut encore la réaliser en misant trois fois plus de temps. C’est pour cela qu’un plan d’ensemble est recommandé pour voir si le jeu en vaut vraiment la chandelle.
En général, les histoires réussies (et donc les trilogies) sont des histoires originales dans leur inspiration ou leur conception. Dans leur inspiration parce que l’auteur lance un sujet nouveau ou très peu abordé comme William Gibson avec Le Neuromancien en 1984 sur le monde informatique ; ou Tolkien avec Le Seigneur des Anneaux en 1954 dans le domaine de la Fantasy. Dans leur conception quand l’auteur reprend un sujet déjà vu et revu mais de façon nouvelle comme le voyage dans le temps avec Retour dans le futur et la Dolorean servant à franchir les siècles ; ou The hot spot avec le triangle classique « un homme deux femmes », les personnages avec leurs looks et leurs caractères faisant la différence.
La trilogie c’est le trois, les trois logis ou loges, là où se loge l’esprit de quelque chose, son essence vivante sous une forme écrite, filmée, dessinée, enchantée par la musique, les trois dimensions d’une sculpture, etc.
On part du un, le mono, l’unité mais aussi le manque de variations. C’est un mais seul, isolé. Du coup on rajoute un et on obtient deux, la stéréo, qui peut-être un double vu dans le miroir, ou quelque chose de complètement différent, comme l’homme et la femme. Il y a alors un sentiment de plein, d’ouverture, d’éveil vers d’autres possibilités, absentes avec un.
Avec le trois, on atteint une « overdose de complet », on a la stéréo avec un plus, on entre dans les trois dimensions, l’espace, le mouvement dans tous les sens, avec tous nos sens. On peut se délier, s’étirer, s’épanouir, prendre de la place. C’est le triangle actif, avec des angles pointus ; posé sur une base, avec une stabilité en bas et un mouvement fulgurant vers le haut.
De là on débouche sur carré et la stabilité parfaite, avec une certaine monotonie, le carré et le quatre ressemblant à une roue carrée qui ne roulerait pas. Pour cela que quatre films en suites, par exemple, donnent une impression d’accumulation et de « trop-plein ». On était parti de la trilogie active, on se retrouve alors avec la quadrilogie passive.
C’est caractéristique avec le Tiercé, où l’on jouait avec un enthousiasme qui a disparu quand le quarté, le quinté et le quinté + ont fait leur apparition. Avant on avait la course du dimanche, on s’y préparait le samedi, on redoublait de commentaires le dimanche matin au pmu dans une ambiance électrique. Maintenant les courses se succèdent sans interruption sur les écrans télé des pmu, on a juste le temps de cocher un ticket et de valider. On a même perdu le plaisir de la petite pince qui scroutchait dans les tickets trois volets (encore le trois).
On peut trouver encore d’autres exemples qui montrent que le trois est un nombre parfait, un juste milieu entre le moins et le plus. Ce qui expliquerait le secret de la trilogie et son engouement.
Au final, le choix demeure : un, deux, trois, quatre, etc. Peu importe, l’essentiel est de bien réussir son œuvre et d’entraîner chaque fois le lecteur vers de nouvelles émotions. Le chiffre est juste une indication pour la structure et le rythme. Les personnages et donc l’humain feront toujours la différence. Après tout, c’est nous qui vivons le monde, les mondes devrais-je dire. Tout le reste est une question de lieux et de décoration, que ce soit présentés en deux ou quinze tomes, épisodes et je ne sais pas quoi.
- NeveN
- Messages : 27
- Enregistré le : 01 sept. 2015 18:15
Re: Pourquoi une trilogie ???
D'ailleurs, vous remarquerez que beaucoup des premiers films de trilogies ont une sorte de "semi-fin" au cas où il ne marche pas. C'est le cas de Star Wars par exemple, qui dès le départ devait être une trilogie.
La réponse à la grande question, à la vie, l'univers, et tout le reste... se trouve être... 42
Pensées profondes - Le guide du voyageur galactique
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- jadzia
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Re: Pourquoi une trilogie ???
Je crois que Mario a bien fait le tour du problème mais je vais en rajouter une couche.
Il y a beaucoup de choses qui marchent par trois, trois donne du rythme : pam, pam et pam. Introduction, développement, conclusion. Thèse, antithèse, synthèse. Tchac, tchac, tchac. Légitimité, unité, efficacité, martèle le ministre dans la BD Quai d'Orsay. Les trois points d'interrogation que tu as mis à la fin de ta question...
Si partir avec en tête l'idée d'écrire une trilogie peut sembler étrange, cela peut aussi venir des étapes que l'on veut suivre pour développer son monde ou son personnage. Cela se comprend.
Il y a beaucoup de choses qui marchent par trois, trois donne du rythme : pam, pam et pam. Introduction, développement, conclusion. Thèse, antithèse, synthèse. Tchac, tchac, tchac. Légitimité, unité, efficacité, martèle le ministre dans la BD Quai d'Orsay. Les trois points d'interrogation que tu as mis à la fin de ta question...
Si partir avec en tête l'idée d'écrire une trilogie peut sembler étrange, cela peut aussi venir des étapes que l'on veut suivre pour développer son monde ou son personnage. Cela se comprend.
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- Messages : 821
- Enregistré le : 28 avr. 2015 11:54
Re: Pourquoi une trilogie ???
parce que, jamais deux sans trois.
- Lilou
- Administratrice
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- Enregistré le : 10 avr. 2013 23:09
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- Localisation : Vesoul
Re: Pourquoi une trilogie ???
Ca c'est de la réponse Raph
« Ecrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit. »
Venez découvrir mes chroniques sur mon blog : http://landofbooks-chroniques.blogspot.fr/
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- MrFlo
- Messages : 224
- Enregistré le : 20 sept. 2015 19:33
- Localisation : Nantes
Re: Pourquoi une trilogie ???
J'aime bien certaines réponses apportées par Mario (mais où trouve-t-il tout cela ?!), notamment sur la suite un / unité, deux / dualité & opposition, trois / 3D & "overdose de complet", puis le quatre / la monotonie. ça me parle. Après comme tu le dis également "le mot est devenu attractif dans la conscience populaire et artistique". La trilogie serait donc une mode ?
Ce qui me fait rebondir sur ton commentaire, ma chère jadzia. Effectivement le trois se retrouve dans beaucoup d'endroits (j'ai bien ri sur le coup de mes trois points d'interrogation). Je me posais également la question de savoir si c'était une forme de métaphore de l'évolution de l'Homme : naissance, maturité, mort. Comme si toute trilogie proposait une sorte de quête initiatique : au début le héros n'est rien, puis il grandit, fait ses expériences pour arriver finalement à un nouvel état stable après avoir vaincu le Grand Méchant. Je pense que l'on peut appliquer ce modèle aux œuvres que nous connaissons tous, comme le Seigneur des Anneaux (bien qu'il soit à noter qu'il était initialement en six volumes !!), Star Wars, Matrix et que je sais-je encore.
Cependant si on mixe l'argumentaire feuillu de Mario et la réflexion pertinente de Jadzia, on s'aperçoit qu'un autre chiffre peut survenir ensuite : le 7. C'est un nombre premier, il n'a pas d'équilibre, de monotonie, et se retrouve également ici et là dans les sept couleurs de l'arc-en-ciel, jours de la semaines, pêchés capitaux (et vertus opposées), doigts de la main, etc...
@Lilou : je pense que j'ai justement lu quelque part sur ce forum que tu voulais écrire une trilogie, et, avec le temps de réflexion inhérent au fonctionnement compliqué de mon cerveau, la présente remarque a vu le jour en moi durant cette toilette matinale... c'est beau
Ce qui me fait rebondir sur ton commentaire, ma chère jadzia. Effectivement le trois se retrouve dans beaucoup d'endroits (j'ai bien ri sur le coup de mes trois points d'interrogation). Je me posais également la question de savoir si c'était une forme de métaphore de l'évolution de l'Homme : naissance, maturité, mort. Comme si toute trilogie proposait une sorte de quête initiatique : au début le héros n'est rien, puis il grandit, fait ses expériences pour arriver finalement à un nouvel état stable après avoir vaincu le Grand Méchant. Je pense que l'on peut appliquer ce modèle aux œuvres que nous connaissons tous, comme le Seigneur des Anneaux (bien qu'il soit à noter qu'il était initialement en six volumes !!), Star Wars, Matrix et que je sais-je encore.
Cependant si on mixe l'argumentaire feuillu de Mario et la réflexion pertinente de Jadzia, on s'aperçoit qu'un autre chiffre peut survenir ensuite : le 7. C'est un nombre premier, il n'a pas d'équilibre, de monotonie, et se retrouve également ici et là dans les sept couleurs de l'arc-en-ciel, jours de la semaines, pêchés capitaux (et vertus opposées), doigts de la main, etc...
@Lilou : je pense que j'ai justement lu quelque part sur ce forum que tu voulais écrire une trilogie, et, avec le temps de réflexion inhérent au fonctionnement compliqué de mon cerveau, la présente remarque a vu le jour en moi durant cette toilette matinale... c'est beau
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- Lilou
- Administratrice
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- Localisation : Vesoul
Re: Pourquoi une trilogie ???
Soit, c'est en faisant ta toilette matinale que tu as pensé a moi et que tu as pondu ce post
« Ecrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit. »
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- MrFlo
- Messages : 224
- Enregistré le : 20 sept. 2015 19:33
- Localisation : Nantes
Re: Pourquoi une trilogie ???
oui !!!!!!! y'a pire non ?? :D
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