Bonjour à tous,
Alors que je rédige le brouillon de mon roman d'espionnage, je me suis rendue compte d'un truc.
J'ai une menace omniprésente, et des "méchants" ponctuelles qui viennent "barrer la route du héro", mais je n'ai pas de "grand méchant emblématique" car c'est une organisation. Donc il n'a ni nom, ni visage (et personne ne sais vraiment qui c'est).
Le but de ma trame n'étant pas de lui botter les fesses, est-ce grave s'il n'apparaît tout simplement jamais ?
Merci d'avance pour vos réponses.
Roman sans méchant ? [Résolu]
- Aurore
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- Fiche de présentation : Toute petite j'ai apprivoisé le mondes des lettres pour pouvoir ouvrir le temple de la lecture. Avec les années je me suis découvert des facilités avec l'écriture. Désireuse de me surpasser, j'écris beaucoup et couche toutes les idées digne d'exploitation sur le papier. J'aimerais pouvoir un jour arriver à publier toutes ces histoires, donner à voir ces paysage qui n'existent pour l'heure que dans ma tête.
- Localisation : Dans un monde d'une beauté sans égal
Roman sans méchant ? [Résolu]
Modifié en dernier par Kiwano le 13 nov. 2021 14:24, modifié 1 fois.
Raison : Question résolue
Raison : Question résolue
- Thanaelys
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Re: Roman sans méchant ?
Salut 
Je me suis posé la même question et je ne pense pas que ça soit un réel problème. Tout dépend de l’enchaînement des événements je dirais...
Pour une pensée un peu plus philosophique, c'est un peu comme dans la vie. On a des obstacles qui nous barrent la route (que soit des tracas d'un jour ou de véritables problèmes qui nous tombent du ciel ou que parfois même l'on s'impose sans s'en rendre compte). Et au final, nous n'avons pas non plus de grand méchant à qui on aimerait botter les fesses.
Si ton histoire tient la route sans, je ne vois pas pourquoi il en faudrait nécessairement un.
Voilà, c'était mon avis ^^
Ja nee

Je me suis posé la même question et je ne pense pas que ça soit un réel problème. Tout dépend de l’enchaînement des événements je dirais...
Pour une pensée un peu plus philosophique, c'est un peu comme dans la vie. On a des obstacles qui nous barrent la route (que soit des tracas d'un jour ou de véritables problèmes qui nous tombent du ciel ou que parfois même l'on s'impose sans s'en rendre compte). Et au final, nous n'avons pas non plus de grand méchant à qui on aimerait botter les fesses.
Si ton histoire tient la route sans, je ne vois pas pourquoi il en faudrait nécessairement un.
Voilà, c'était mon avis ^^
Ja nee
- Galila
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Re: Roman sans méchant ?
L'opposition au héros n'est pas forcément personnifiée. Par exemple, dans les romans qui traitent de la maladie, c'est le mal qui ronge le héros qui est l'ennemi, pas besoin d'un "méchant".
Mais tu as déjà ton méchant de toute façon, si c'est une organisation. ^^
Mais tu as déjà ton méchant de toute façon, si c'est une organisation. ^^
- ileana
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Re: Roman sans méchant ?
Salut Aurore,
En lisant ton petit mot, j'ai tout de suite penser à un tome 2 !
Je m'explique : dans le roman que tu écris, le "Grand Méchant" (l'organisation, ou en tout cas la personne qui la dirige, même si personne ne la connais (je pense à Big Brother, par exemple, dans 1984)) est un méchant à part entière ! pas besoin de le voir, ni qu'il soit un véritable personnage palpable. Le simple fait de laisser planer sa présence est suffisant, SURTOUT si ta trame n'est pas de lui botter les fesses.
Ce qui me fait arriver au tome 2 : tu as laissé supposer au lecteur qu'une organisation était derrière toute l'histoire... ton héros risque donc de se pencher sur le problème ! ^^

En lisant ton petit mot, j'ai tout de suite penser à un tome 2 !
Je m'explique : dans le roman que tu écris, le "Grand Méchant" (l'organisation, ou en tout cas la personne qui la dirige, même si personne ne la connais (je pense à Big Brother, par exemple, dans 1984)) est un méchant à part entière ! pas besoin de le voir, ni qu'il soit un véritable personnage palpable. Le simple fait de laisser planer sa présence est suffisant, SURTOUT si ta trame n'est pas de lui botter les fesses.
Ce qui me fait arriver au tome 2 : tu as laissé supposer au lecteur qu'une organisation était derrière toute l'histoire... ton héros risque donc de se pencher sur le problème ! ^^

- Aurore
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- Fiche de présentation : Toute petite j'ai apprivoisé le mondes des lettres pour pouvoir ouvrir le temple de la lecture. Avec les années je me suis découvert des facilités avec l'écriture. Désireuse de me surpasser, j'écris beaucoup et couche toutes les idées digne d'exploitation sur le papier. J'aimerais pouvoir un jour arriver à publier toutes ces histoires, donner à voir ces paysage qui n'existent pour l'heure que dans ma tête.
- Localisation : Dans un monde d'une beauté sans égal
Re: Roman sans méchant ?
Merci pour vos réponses qui m'éclairent.
Oui, c'est vrai que l'organisation est un peu comme une sorte de Big Brother (d'ailleurs son nom va dans ce sens).
En fait, le but du pitch n'est pas non plus de démanteler l'organisation, mais le héro est obligé de faire une réhab par rapport à ses services mais il a une obsession (en lien avec cette organisation). Comme une mission qu'il s'est donné lui-même et qu'il veut achever avant de tourner la page.
Donc j'en viens au Tome 2. En principe, je n'y pense pas étant donné, que l'épilogue va venir clore l'histoire et l'ouvrir sur une autre dimension (mais que je ne traiterais pas tout simplement parce que j'en ai pas envie, sauf si je fini par changer d'avis ou qu'on me le réclame avec insistance).
En tout cas, ça me rassure car j'avoue que de devoir réagencer pas mal de trucs à cause d'un détail comme celui-ci m'aurait bien embêté. (surtout que mon assaut final me prend déjà assez la tête comme ça
)
Arigatô minna ! Merci à tous !
Oui, c'est vrai que l'organisation est un peu comme une sorte de Big Brother (d'ailleurs son nom va dans ce sens).
En fait, le but du pitch n'est pas non plus de démanteler l'organisation, mais le héro est obligé de faire une réhab par rapport à ses services mais il a une obsession (en lien avec cette organisation). Comme une mission qu'il s'est donné lui-même et qu'il veut achever avant de tourner la page.
Donc j'en viens au Tome 2. En principe, je n'y pense pas étant donné, que l'épilogue va venir clore l'histoire et l'ouvrir sur une autre dimension (mais que je ne traiterais pas tout simplement parce que j'en ai pas envie, sauf si je fini par changer d'avis ou qu'on me le réclame avec insistance).

En tout cas, ça me rassure car j'avoue que de devoir réagencer pas mal de trucs à cause d'un détail comme celui-ci m'aurait bien embêté. (surtout que mon assaut final me prend déjà assez la tête comme ça

Arigatô minna ! Merci à tous !
