Et un duel

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MiniWriter
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Et un duel

Message par MiniWriter »

Coucou !
Encore un problème au niveau du tome 3 (décidément...), dans une scène, l'héroïne se bat en duel à l'épée avec le célèbre traître Mordred, qui était son ami auparavant, mais sous un autre nom. Disons que la fille est assez en colère et profite qu'elle soit seule avec lui pour le provoquer. Certes. Mais j'ai quelques problèmes au niveau des descriptions des actions (j'ai pourtant essayé de faire de l'escrime, mais pas de club dans le coin, si quelqu'un veut me donner des cours, je suis preneuse :lol: )
J'ai pas trop envie de tomber dans le cliché, alors si vous avez des techniques, des films ou des séries où on voit des scènes de duel à l'épée (excepté Once Upon A Time, Rumple VS Hook, c'est déjà vu :D ), merci de votre aide ^^
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Alcide
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Re: Et un duel

Message par Alcide »

Si tu veux de bonnes scènes de duel, je te conseille les Alexandre Dumas, notamment la série des Mousquetaires (les trois mousquetaires, 20 ans après, le vicomte de Bragelonne) ou encore la série des Valois (La reine Margot, La dame de Monsoreau, les quarante-cinq)

Je me permets de conseiller les titres en gras, car ils contiennent des scènes anthologiques.

Pour ce qui est de la représentation dynamique, je te conseille les phrases courtes car les duels jouent sur l'instant ; sauf si le narrateur est spectateur passif.

En extrait : le duel des Mignons du roi de France et des Angevins (La Dame de Monsoreau)
CHAPITRE XXXVII

LE COMBAT

Le terrain sur lequel allait avoir lieu cette terrible rencontre était ombragé d'arbres, ainsi que nous l'avons vu, et situé à l'écart.

Il n'était fréquenté d'ordinaire que par les enfants, qui venaient y jouer le jour, ou les ivrognes et les voleurs, qui venaient y dormir la nuit.

Les barrières, dressées par les marchands de chevaux, écartaient naturellement la foule, qui, semblable aux flots d'une rivière, suit toujours un courant, et ne s'arrête ou ne revient qu'attirée par quelque remous.

Les passants longeaient cet espace et ne s'y arrêtaient point.

D'ailleurs, il était de trop bonne heure, et l'empressement général se portait vers la maison sanglante de Monsoreau.

Chicot, le coeur palpitant, bien qu'il ne fût pas fort tendre de sa nature, s'assit en avant des laquais et des pages sur une balustrade de bois.

Il n'aimait pas les Angevins, il détestait les mignons; mais les uns et les autres étaient de braves jeunes gens, et sous leur chair courait un sang généraux que bientôt on allait voir jaillir au grand jour.

D'Épernon voulut risquer une dernière fois la bravade.

—Quoi! on a donc bien peur de moi? s'écria-t-il.

—Taisez-vous, bavard! lui dit Antraguet.

—J'ai mon droit, répliqua d'Épernon; la partie fut liée à huit.

—Allons, au large! dit Ribérac impatienté en lui barrant le passage.

Il s'en revint avec des airs de tête superbes, et rengaîna son épée.

—Venez, dit Chicot, venez, fleur des braves, sans quoi vous allez perdre encore une paire de souliers comme hier.

—Que dit ce maître fou?

—Je dis que tout à l'heure il y aura du sang par terre, et vous marcheriez dedans comme vous fîtes cette nuit.

D'Épernon devint blafard. Toute sa jactance tombait sous ce terrible reproche.

Il s'assit à dix pas de Chicot, qu'il ne regardait plus sans terreur.

Ribérac et Schomberg s'approchèrent après le salut d'usage.

Quélus et Antraguet, qui, depuis un instant déjà, étaient tombés en garde, engagèrent le fer en faisant un pas en avant.

Maugiron et Livarot, appuyés chacun sur une barrière, se guettaient en faisant des feintes sur place pour engager l'épée dans leur garde favorite.

Le combat commença comme cinq heures sonnaient à Saint-Paul.

La fureur était peinte sur les traits des combattants; mais leurs lèvres serrées, leur pâleur menaçante l'involontaire tremblement du poignet, indiquaient que cette fureur était maintenue par eux à force de prudence, et que, pareille à un cheval fougueux, elle ne s'échapperait point sans de grands ravages.

Il y eut durant plusieurs minutes, ce qui est un espace de temps énorme, un frottement d'épées qui n'était pas encore un cliquetis. Pas un coup ne fut porté.

Ribérac, fatigué ou plutôt satisfait d'avoir tâté son adversaire, baissa la main, et attendit un moment.

Schomberg fit deux pas rapides, et lui porta un coup qui fut le premier éclair sorti du nuage.

Ribérac fut frappé. Sa peau devint livide, et un jet de sang sortit de son épaule; il rompit pour se rendre compte à lui-même de sa blessure.

Schomberg voulut renouveler le coup; mais Ribérac releva son épée par une parade de prime, et lui porta un coup qui l'atteignit au côté.

Chacun avait sa blessure.

—Maintenant, reposons-nous quelques secondes, si vous voulez, dit
Ribérac.
Cependant Quélus et Antraguet s'échauffaient de leur côté; mais Quélus, n'ayant pas de dague, avait un grand désavantage; il était obligé de parer avec son bras gauche, et, comme son bras était nu, chaque parade lui coûtait une blessure.

Sans être atteint grièvement, au bout de quelques secondes, il avait la main complètement ensanglantée.

Antraguet, au contraire, comprenant tout son avantage, et non moins habile que Quélus, parait avec une mesure extrême. Trois coups de riposte portèrent, et, sans être touché grièvement, le sang s'échappa de la poitrine de Quélus par trois blessures.

Mais, à chaque coup, Quélus répéta:

—Ce n'est rien.

Livarot et Maugiron en étaient toujours à la prudence.

Quant à Ribérac, furieux de douleur et sentant qu'il commençait à perdre ses forces avec son sang, il fondit sur Schomberg.

Schomberg ne recula pas d'un pas et se contenta de tendre son épée.

Les deux jeunes gens firent coup fourré.

Ribérac eut la poitrine traversée, et Schomberg fut blessé au cou.

Ribérac, blessé mortellement, porta la main gauche à sa plaie en se découvrant.

Schomberg en profita pour porter à Ribérac un second coup qui lui traversa les chairs.

Mais Ribérac, de sa main droite, saisit la main de son adversaire, et, de la gauche, lui enfonça dans la poitrine sa dague jusqu'à la coquille.

La lame aiguë traversa le coeur.

Schomberg poussa un cri sourd et tomba sur le dos, entraînant avec lui
Ribérac, toujours traversé par l'épée.
Livarot, voyant tomber son ami, fit un pas de retraite rapide et courut à lui, poursuivi par Maugiron. Il gagna plusieurs pas dans la course, et, aidant Ribérac dans les efforts qu'il faisait pour se débarrasser de l'épée de Schomberg, il lui arracha cette épée de la poitrine.

Mais alors, rejoint par Maugiron, force lui fut de se défendre avec le désavantage d'un terrain glissant, d'une garde mauvaise et du soleil dans les yeux.

Au bout d'une seconde, un coup d'estoc ouvrit la tête de Livarot, qui laissa échapper son épée et tomba sur les genoux.

Quélus était vivement serré par Antraguet. Maugiron se hâta de percer
Livarot d'un coup de pointe. Livarot tomba tout à fait.
D'Épernon poussa un grand cri.

Quélus et Maugiron restaient contre le seul Antraguet. Quélus était tout sanglant, mais de blessures légères.

Maugiron était à peu près sauf.

Antraguet comprit le danger. Il n'avait pas reçu la moindre égratignure; mais il commençait à se sentir fatigué; ce n'était cependant pas le moment de demander trêve à un homme blessé et à un autre tout chaud de carnage. D'un coup de fouet il écarta violemment l'épée de Quélus, et, profitant de l'écartement du fer, il sauta légèrement par-dessus une barrière.

Quélus revint par un coup de taille, mais qui n'entama que le bois.

Mais, en ce moment, Maugiron attaqua Antraguet de flanc. Antraguet se retourna. Quélus profita du mouvement pour passer sous la barrière.

—Il est perdu, dit Chicot.

—Vive le roi! dit d'Épernon, hardi, mes lions, hardi!

—Monsieur, du silence, s'il vous plaît, dit Antraguet; n'insultez pas un homme qui se battra jusqu'au dernier souffle.

—Et qui n'est pas encore mort! s'écria Livarot.

Et, au moment où nul ne pensait plus à lui, hideux de la fange sanglante qui lui couvrait le corps, il se releva sur ses genoux et plongea sa dague entre les épaules de Maugiron, qui tomba comme une masse en soupirant:

—Jésus, mon Dieu! je suis mort!

Livarot retomba évanoui; l'action et la colère avaient épuisé le reste de ses forces.

—Monsieur de Quélus, dit Antraguet, baissant son épée, vous êtes un homme brave, rendez-vous, je vous offre la vie.

—Et pourquoi me rendre? dit Quélus, suis-je à terre?

—Non; mais vous êtes criblé de coups, et moi, je suis sain et sauf.

—Vive le roi! cria Quélus, j'ai encore mon épée, monsieur.

Et il se fendit sur Antraguet, qui para le coup, si rapide qu'il eût été.

—Non, monsieur, vous ne l'avez plus, dit Antraguet, saisissant à pleine main la lame près de la garde.

Et il tordit le bras de Quélus, qui lâcha l'épée.

Seulement Antraguet se coupa légèrement un doigt de la main gauche.

—Oh! hurla Quélus, une épée! une épée!

Et, se lançant sur Antraguet d'un bond de tigre, il l'enveloppa de ses deux bras.

Antraguet se laissa prendre au corps, et, passant son épée dans sa main gauche et sa dague dans sa main droite, il se mit à frapper sur Quélus sans relâche et partout, s'éclaboussant à chaque coup du sang de son ennemi, à qui rien ne pouvait faire lâcher prise, et qui criait à chaque blessure:

—Vive le roi!

Il réussit même à retenir la main qui le frappait, et à garrotter, comme eût fait un serpent, son ennemi intact entre ses jambes et ses bras.

Antraguet sentit que la respiration allait lui manquer.

En effet, il chancela et tomba.

Mais, en tombant, comme si tout le devait favoriser ce jour-là, il étouffa, pour ainsi dire, le malheureux Quélus.

—Vive le roi! murmura ce dernier, à l'agonie.

Antraguet parvint à dégager sa poitrine de l'étreinte; il se roidit sur un bras, et, le frappant d'un dernier coup qui lui traversa la poitrine:

—Tiens, lui dit-il, es-tu content?

—Vive le r…, articula Quélus, les yeux à demi fermés.

Ce fut tout; le silence et la terreur de la mort régnaient sur le champ de bataille.

Antraguet se releva tout sanglant, mais du sang de son ennemi; il n'avait, comme nous l'avons dit, qu'une égratignure à la main.

D'Épernon, épouvanté, fit un signe de croix et prit la fuite, comme s'il eût été poursuivi par un spectre.

Antraguet jeta sur ses compagnons et ses ennemis, morts et mourants, le même regard qu'Horace dut jeter sur le champ de bataille qui décidait les destins de Rome.

Chicot secourut et releva Quélus, qui rendait son sang par dix-neuf blessures.

Le mouvement le ranima.

Il rouvrit les yeux.

—Antraguet, sur l'honneur, dit-il, je suis innocent de la mort de
Bussy.
—Oh! je vous crois, monsieur, fit Antraguet attendri, je vous crois.

—Fuyez, murmura Quélus, fuyez, le roi ne vous pardonnerait pas.

—Et moi, monsieur, je ne vous abandonnerai pas ainsi, dit Antraguet, dût l'échafaud me prendre.

—Sauvez-vous, jeune homme, dit Chicot, et ne tentez pas Dieu; vous vous sauvez par un miracle, n'en demandez pas deux le même jour.

Antraguet s'approcha de Ribérac, qui respirait encore.

—Eh bien? demanda celui-ci.

—Nous sommes vainqueurs, répondit Antraguet à voix basse pour ne pas offenser Quélus.

—Merci, dit Ribérac. Va-t'en.

Et il retomba évanoui.

Antraguet ramassa sa propre épée, qu'il avait laissée tomber dans la lutte, puis celles de Quélus, de Schomberg et de Maugiron.

—Achevez-moi, monsieur, dit Quélus, ou laissez-moi mon épée.

—La voici, monsieur le comte, dit Antraguet en la lui offrant avec un salut respectueux.

Une larme brilla aux yeux du blessé.

—Nous eussions pu être amis, murmura-t-il.

Antraguet lui tendit la main.

—Bien! fit Chicot; c'est on ne peut plus chevaleresque. Mais sauve-toi, Antraguet, tu es digne de vivre.

—Et mes compagnons? demanda le jeune homme.

—J'en aurai soin, comme des amis du roi.

Antraguet s'enveloppa du manteau que lui tendait son écuyer, afin que l'on ne vît pas le sang dont il était couvert, et, laissant les morts et les blessés au milieu des pages et des laquais, il disparut par la porte Saint-Antoine.
Rem tene verba sequentur

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Re: Et un duel

Message par Lilou »

Tu reprends le mythe d'Arthur ?
Parce que Mordred fait forcément penser à la légende arthurienne lorsqu'on la connaît un peu et du coup ça paraît un peu bizarre au milieu d'une autre histoire ^^
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Re: Et un duel

Message par MiniWriter »

Oui, "les Irréels" repose principalement sur le mythe arthurien, avec notamment dans le premier tome Arthur, Lancelot, Morgane et Guenièvre, mais pas que, par exemple à partir du tome deux je reprends le conte de Peter Pan (ce qui n'était pas prévu au départ), on a une allusion à Alice au Pays des Merveilles, le comte Dracula fait une apparition aussi... Leur point commun, c'est que ce sont tous des Irréels (et que leurs histoires sont libres de droits, ouf ^^).
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Re: Et un duel

Message par Lilou »

Dis, un petit truc me dérange...parce que les époques ne correspondent pas et surtout tu ne dois pas oublier que Dracula est une légende mais fondée sur un personnage réel (donc il n'est pas réellement Irréel, après ce n'est que mon avis, à voir ce que d'autres en pensent ) donc à ce niveau je pense que la chronologie est très importante vu que la légende Arthurienne est également datée ( il aurait vécu 5ème, 6 ème siècle selon la légende ). Comptes-tu faire rencontrer ces personnages malgré leur différence d'époque.
Et puis, renseigne toi bien par contre par rapport au personnage de Dracula car récemment ( en 2009), le petit neveu (ou arrière je ne sais plus) de Bram stoker à refait un livre avec Dracula pour poursuivre les recherches de son oncle, alors es-tu bien sûre que ce personnage reste tout de même libre de droit ?
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Re: Et un duel

Message par MiniWriter »

Les Irréels étant immortels pour certains (Peter Pan etc.), capable de se réincarner (Morgane) ou de mourir et de renaître sous une nouvelle identité comme s'il vivait des vies antérieures mais en gardant tous ses souvenirs (Mordred), ils se retrouvent tous à notre époque. Le problème d'Anne dans le tome 1 est justement qu'Arthur et Lancelot se battent au XXI e siècle avec une mentalité féodale alors qu'ils se sont adaptés à la société moderne (avec pas mal de difficultés).
Je vois ce que tu veux dire concernant Drac. J'ai douté aussi au moment de l'insérer en tant qu'Irréel (puisque Nicolas Flamel fait quelques apparitions en tant qu'humain alors que peu de gens savent qu'il a vraiment existé, je me suis longtemps demandé si je devais faire de Dracula un humain, un demi-Irréel ou un Irréel à part entière) mais je me suis dit que puisque les vampires peuvent mordre les humains pour e faire des simili-Irréels (appelés Irréels pour plus de commodité mais qui n'ont pas les mêmes pouvoirs) et que Drac est l'un des vamps les plus puissants j'en ai fait un Irréel, mais cependant plus proche des simili, puisqu'il ressent des sentiments plus proches de ceux des humains.
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Chasseuse de la Nuit
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Re: Et un duel

Message par Chasseuse de la Nuit »

Hello !

Le personnage de Bram Stoker est libre de droit, j'ai trouvé son nom cité dans des romans d'autres auteurs.

http://www.ebooksgratuits.com/ebooks.ph ... toker_Bram

Donc tu peux utiliser le personnage (sans reprendre l'histoire de Stoker, of course !)
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Nat à chat
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Re: Et un duel

Message par Nat à chat »

Je vous poste ici ce que j'ai trouvé lors de mes recherches pour la description d'un combat à l'épée:

Lien obsolète vers garshin.ru supprimé

Si ça peut aider d'autres personnes tant mieux :biggrin:
Modifié en dernier par Kiwano le 09 oct. 2021 16:39, modifié 1 fois.
Raison : Suppression de liens obsolètes
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