Fin ouverte ou pas ?
Message posté… : 24 févr. 2015 01:44
Coucou, j'aurais besoin de quelques avis par rapport à un choix dans mon intrigue.
Le monde et les personnages qui vont y évoluer ont déjà une bonne consistance. Il s'agit d'un univers héroic fantasy. Les fiches ne sont pas terminées, mais dans ma tête, ils sont déjà parfaitement vivants et ont eu le temps de mûrir. Beaucoup. Et c'était un peu le problème pour choisir un point de départ et un point final à l'intrigue.
J'ai un personnage principal avec une vie bien... remplie, de 12 ans à sa mort. Donc j'ai déjà dû trancher pour recentrer tout ça sur une histoire, pour structurer. Mon choix est fait et c'est bien là le problème. Je veux m'assurer de ne pas avoir trop tranché.
Je résume :
Rael vient de Neragha, les terres de son peuple qui furent perdues, pendant son enfance. Cousin de Meneles (fils du défunt duc), à ses côtés Rael voit pendant trois années les ravages de la famine et de la rudesse de cette nouvelle vie sur les siens, entre autre. Lors du départ de certains de leurs guerriers pour rejoindre la Marche Rouge (des mercenaires du royaume arpentant le Nord du royaume en vendant leurs services aux plus offrants), et en désaccord avec son cousin, il se glisse dans leurs rangs sous la protection d'Eshe, un de leurs farouches combattants.
Son objectif le poussera à se surpasser durant les années suivantes, pour gagner en puissance et en savoir militaire. Dans l’espoir de reprendre la Neragha, son aventure le mènera à affronter Karandas d’Arkantel, champion et officier de Malorsie Altildis, l’une des dernières magiciennes du continent et, désormais, maitresse absolue du royaume voisin n’ayant de cesse de vouloir étendre son pouvoir par la terreur.
Mon problème :
Après réflexion, afin de ne pas m’éparpiller, j’avais décidé de me fier à l’objectif initial de mon personnage et de m’arrêter là, car il me permettait déjà pas mal de péripéties. A savoir : reprendre les terres de son peuple. Et Karandas constituant l’obstacle physique évident deviendra donc l’antagoniste direct du jeune homme que deviendra Rael.
Sauf qu’au cours de l’histoire, sans intervenir directement, Malorsie devient une menace de plus en plus présente. Et si Rael parvient au bout de cette première quête, il y a tout à parier qu’il y aura des représailles (qu’il soit victorieux, ou contre les éventuels survivants).
Ma question est :
Si je termine mon intrigue après l’affrontement avec Karandas (que le résultat soit mitigé, positif ou négatif) en laissant une fin ouverte, est-ce que ça passerait selon vous ? (Cette option ayant ma préférence)
Ou est-ce que cela serait frustrant de ne pas savoir ce qu’il en sera concernant Malorsie et les conséquences de sa « réponse » et qu'il vaudrait mieux développer ? (et du coup, là, j'aurais peur que ça tire en longueur et que ça déséquilibre l'ensemble... >_< )
Merci d'avance pour les avis/conseils que je pourrais avoir 
Le monde et les personnages qui vont y évoluer ont déjà une bonne consistance. Il s'agit d'un univers héroic fantasy. Les fiches ne sont pas terminées, mais dans ma tête, ils sont déjà parfaitement vivants et ont eu le temps de mûrir. Beaucoup. Et c'était un peu le problème pour choisir un point de départ et un point final à l'intrigue.
J'ai un personnage principal avec une vie bien... remplie, de 12 ans à sa mort. Donc j'ai déjà dû trancher pour recentrer tout ça sur une histoire, pour structurer. Mon choix est fait et c'est bien là le problème. Je veux m'assurer de ne pas avoir trop tranché.
Je résume :
Rael vient de Neragha, les terres de son peuple qui furent perdues, pendant son enfance. Cousin de Meneles (fils du défunt duc), à ses côtés Rael voit pendant trois années les ravages de la famine et de la rudesse de cette nouvelle vie sur les siens, entre autre. Lors du départ de certains de leurs guerriers pour rejoindre la Marche Rouge (des mercenaires du royaume arpentant le Nord du royaume en vendant leurs services aux plus offrants), et en désaccord avec son cousin, il se glisse dans leurs rangs sous la protection d'Eshe, un de leurs farouches combattants.
Son objectif le poussera à se surpasser durant les années suivantes, pour gagner en puissance et en savoir militaire. Dans l’espoir de reprendre la Neragha, son aventure le mènera à affronter Karandas d’Arkantel, champion et officier de Malorsie Altildis, l’une des dernières magiciennes du continent et, désormais, maitresse absolue du royaume voisin n’ayant de cesse de vouloir étendre son pouvoir par la terreur.
Mon problème :
Après réflexion, afin de ne pas m’éparpiller, j’avais décidé de me fier à l’objectif initial de mon personnage et de m’arrêter là, car il me permettait déjà pas mal de péripéties. A savoir : reprendre les terres de son peuple. Et Karandas constituant l’obstacle physique évident deviendra donc l’antagoniste direct du jeune homme que deviendra Rael.
Sauf qu’au cours de l’histoire, sans intervenir directement, Malorsie devient une menace de plus en plus présente. Et si Rael parvient au bout de cette première quête, il y a tout à parier qu’il y aura des représailles (qu’il soit victorieux, ou contre les éventuels survivants).
Ma question est :
Si je termine mon intrigue après l’affrontement avec Karandas (que le résultat soit mitigé, positif ou négatif) en laissant une fin ouverte, est-ce que ça passerait selon vous ? (Cette option ayant ma préférence)
Ou est-ce que cela serait frustrant de ne pas savoir ce qu’il en sera concernant Malorsie et les conséquences de sa « réponse » et qu'il vaudrait mieux développer ? (et du coup, là, j'aurais peur que ça tire en longueur et que ça déséquilibre l'ensemble... >_< )
