Écrire un Roman

Coucou à tous,

J'ai un problème j'écris des phrases trop lourdes........Du coup, je perds toujours un temps fou à rééecrire mes textes.......Et surtout j'ai du mal à reformuler mes phrases autrement.......Par exemple lisez celle-ci:

"Pour l’instant, on ne veut pas savoir si c’est un garçon qui sera aussi toqué que son papa cuisinier ou une fille qui aura la cuisse aussi légère que sa maman lorsqu’elle n’était pas encore rangée des voitures."

Comment la reformuler en supprimant tous les QUE et QUI?

Merci d'avance!!

Des bisous à tous.

LANA

"Pour l'instant, on ne veut pas savoir si c'est un garçon. Sera-t-il aussi toqué que son papa cuisinier ? Ou si c'est une fille à la cuisse aussi légère que sa maman ? Comme lorsqu'elle n'était pas encore rangée des voitures."

Voici un exemple.
Essaie simplement de découper ta phrase.

Merci beaucoup en effet c'est beaucoup mieux!

Cela semble facile une fois lu mais moi j'ai toujours du mal :-(

A nouveau je bloque sur cette phrase!!!

"Théo se comporta admirablement bien, il ne poussa pas le moindre cri. Mais j’étais si mal à l’aise seule avec lui, que j’ai fait croire à Gigi qu’il pleurait depuis qu’elle était partie, afin qu’elle écourte sa séance shopping."

"Théo se comporta admirablement bien, ne poussant pas le moindre cri. Le problème fut que je me sentais terriblement mal à l'aise, seule avec lui. J'ai d'ailleurs fait croire à Gigi qu'il pleurait depuis qu'elle était partie, afin qu'elle écourte sa séance shopping."

Ayant moi même des problèmes de phrases trop lourdes, je ne sais pas si c'est assez bien tourné, mais ça m'entraîne aussi du coup :p

Pas mal Jules, mais perso, j'éviterais le verbe en "ant"...

Je te propose :

Théo se comporta admirablement bien ; il ne pleura pas une seule fois. Mais je me sentais si mal à l'aise, seule avec lui que j'ai raconté le contraire à Gigi. Je lui ai fait croire qu'il n'avait pas cessé de pleurer depuis son départ. J'espérais que mon mensonge l'inciterait à écourter sa séance de shopping.


Ce n'est pas du pain béni, hein, juste une suggestion...

C'est avant tout un problème de phrases trop longues, où tu alignes les subordonnées. Ce n'est pas vraiment un problème d'écrire long, si c'est ta façon naturelle de penser. Simplement tu auras un petit travail de stylistique à fournir pour éliminer les répétitions inutiles. Ce qui s'apprend vite. Après tu peux t'amuser à écrire les phrases les plus longues possibles, puis tu les divises en deux ou trois, voire quatre. De toute façon, même si on écrit court, il faut varier avec des phrases un peu longues, ou qui font le double d'une phrase courte. Sinon on crée un rythme monotone et lassant.

Merci à tous pour vos réponses!

En effet la plupart de mes phrases comportent trop de subordonnées et en les relisant j'ai du mal à les écrire autrement... C'est un travail de découpage qui demande de l'entraînement ;-)
Bon week end à tous
Lana

Jules a écrit :"Théo se comporta admirablement bien, ne poussant pas le moindre cri. Le problème fut que je me sentais terriblement mal à l'aise, seule avec lui. J'ai d'ailleurs fait croire à Gigi qu'il pleurait depuis qu'elle était partie, afin qu'elle écourte sa séance shopping."

Ayant moi même des problèmes de phrases trop lourdes, je ne sais pas si c'est assez bien tourné, mais ça m'entraîne aussi du coup :p

Bonjour.

J'ose améliorer votre texte bien que je suis débutant.

1.Théo se comporta admirablement bien, il ne poussa pas le moidre cri. - Rien à dire.
2. Mais j'étais si mal à l'aise seule avec lui. Ayant des désagréments physiologiques, j'ai fait croire à G qu'il pleurait depuis son départ afin qu'elle écourte sa séance shopping
- En détaillant plus sur son mal à l'aise avec gérondif, tu peux gagner un "que".
Bonne chance.

Mario a écrit :C'est avant tout un problème de phrases trop longues, où tu alignes les subordonnées. Ce n'est pas vraiment un problème d'écrire long, si c'est ta façon naturelle de penser. Simplement tu auras un petit travail de stylistique à fournir pour éliminer les répétitions inutiles. Ce qui s'apprend vite. Après tu peux t'amuser à écrire les phrases les plus longues possibles, puis tu les divises en deux ou trois, voire quatre. De toute façon, même si on écrit court, il faut varier avec des phrases un peu longues, ou qui font le double d'une phrase courte. Sinon on crée un rythme monotone et lassant.

Théo se comporta admirablement bien, il ne poussa pas le moidre cri. Mais la cicatrice du passé commence à me tourturer. Sa tromperie, le piquet que j'ai eu, piégé de sa niaiserie, je restais mal à l'aise. J'ai fait croire à Gigi qu'il pleurait depuis son départ, ce qui méritait l'écourtement de sa séance shopping.

Comment trouvez-vous ?