Écrire un Roman

Bonjour à tous.

Me voici de retour ... pour vous jouer un mauvais tour .... Non non non sérieusement, je suis de retour mais parce que j'ai encore besoin d'un conseil. :oops:

Je m'explique. J'attaque un passage de mon roman ou mes deux personnages chevauchent vers un village ou ils n'ont encore jamais mit les pieds. Et il se trouve que ce village fait l'objet d'une rumeur assez importante dans le cadre de l'histoire. Donc je commence ainsi ....

"On colportait d'étranges rumeurs sur ce village. Beaucoup racontaient qu'autrefois, à l'époque ou .... bla bla bla ... "

et je raconte comment le chef du village en question a courageusement tenter de franchir la forteresse pour y tuer le tyran.

Le hic c'est qu'ils n'ont pas réussit et que le vilain méchant les à tous tuer.

Du coup je me dis " Comment ma rumeur peut-elle être crédible si il n'y avait personne de vivant pour la raconter à l'extérieur de la forteresse ?

Pourtant j'ai besoin de cette rumeur .... Mais comment la rumeur pourrait-elle naître si tous sont mort ?

Vous avez une idée ?


Please help !

Un enfant aurait pu se cacher ou quelqu'un aurait pu laisser un mot. Les parents cherchent toujours à proteger leurs enfants donc il aurait pu avoir une bonne cachette et tout observer derrière un mur en bois.

Les rumeurs peuvent apparaître quand il y a un indice. Par exemple, si une odeur de chair brûlée s'échappe de la forteresse, on peut en déduire qu'ils ont tous brûlé. Ou bien, un cri atroce entendu de l'extérieur, etc.

Les rumeurs peuvent aussi apparaître d'elles-mêmes. L'inexplicable a besoin d'être expliqué. Dans ce cas, plusieurs théories peuvent se propager, parfois contradictoires.

Merci pour vos Suggestions, elles sont très intéressantes ... Merciii

Ce qu'il y a de bien avec les rumeurs, c'est qu'elles n'ont pas besoin d'être vrai. Du coups, tu n'es pas obligé de t'interroger sur leur origine. Peut-être que c'est juste un ivrogne qui l'a lancé une nuit où il cuvait dans un caniveau douteux. L'important c'est que tes personnages en entendent parler, non ?