Les rêves du personnage [Résolu]
Message posté… : 12 juil. 2013 06:18
Bon, j'ai commence un chapitre par un rêve de mon personnage principale. Le roman est a la 3eme per. du singulier mais ce passage est a la première: il rêve d’être dans le corps de loup (futur complice, pour le moment: un animal qui le fascine - a ce jour, 2 rencontres) et cela donne:
Les cristaux de neige voltigent
Le sol et le ciel Blanc
Tout est d’un blanc pur... Mortel et immense
Mon corps se lève et bouge... Je n’ai pas froid, mon souffle forme un léger brouillard
Je marche dans l’immensité blanche... Mon corps est légers, aucunes entrave a mon esprit ne me retiens ici
Un bruit !
Je me retourne et scrute le paysage.
Un lapin. Petite tache tremblante sur tout ce blanc. Il cherche a manger lui aussi...
Le silence revient, je m’élance alors dans la neige, mes pattes fouette la poudreuse.
Joie, plaisir, bonheur et ivresse de liberté m’animent. Je cours et bondis au dessus des ruisseaux gelés. La neige couvre mes traces : je suis invisible, je disparaît a ma guise et m’élance dans ce monde immaculé de toutes odeurs et horreurs humaines.
Je cours encore et encore, ivre de la vitesse, les pattes engourdies par le froid ne me ralentissent pas le moins du monde: la liberté est grisante.
Soudain, un autre bruit, plus distinct cette fois : des pleurs...
Le rêve se termine ainsi car le garçon se réveille.
Je ne sais pas si ce style est lisible...
Qu'en pensez-vous ? ^^
Les cristaux de neige voltigent
Le sol et le ciel Blanc
Tout est d’un blanc pur... Mortel et immense
Mon corps se lève et bouge... Je n’ai pas froid, mon souffle forme un léger brouillard
Je marche dans l’immensité blanche... Mon corps est légers, aucunes entrave a mon esprit ne me retiens ici
Un bruit !
Je me retourne et scrute le paysage.
Un lapin. Petite tache tremblante sur tout ce blanc. Il cherche a manger lui aussi...
Le silence revient, je m’élance alors dans la neige, mes pattes fouette la poudreuse.
Joie, plaisir, bonheur et ivresse de liberté m’animent. Je cours et bondis au dessus des ruisseaux gelés. La neige couvre mes traces : je suis invisible, je disparaît a ma guise et m’élance dans ce monde immaculé de toutes odeurs et horreurs humaines.
Je cours encore et encore, ivre de la vitesse, les pattes engourdies par le froid ne me ralentissent pas le moins du monde: la liberté est grisante.
Soudain, un autre bruit, plus distinct cette fois : des pleurs...
Le rêve se termine ainsi car le garçon se réveille.
Je ne sais pas si ce style est lisible...
Qu'en pensez-vous ? ^^